Pour qui ?
Pour les élèves qui souffrent d’une maladie (ou consécutivement à un accident) et ne peuvent fréquenter leur établissement scolaire pendant au moins deux semaines. L’enseignement peut être assuré du CP à la Terminale en fonction des disponibilités des enseignants et du secteur d’habitation de l’élève.
Si l’enfant doit relever d’un organisme d’éducation spécialisé, nous ne nous substituons pas à ce dernier mais pouvons assurer un « intérim » dans le prise en charge de la scolarité.
Si l’enfant souffre de troubles psychologiques, nous n’intervenons qu’avec l’accord et sous le contrôle d’un psychiatre.
A quel rythme ? Dans quelles matières ?
L’enseignement habituel est de deux à trois séances d’une heure et demie (en primaire) ou de deux heures (en secondaire). Le rythme peut être fractionné en fonction de l’état de l’enfant.
L’enseignement est dispensé dans les matières fondamentales : Français, Mathématiques, Langues Vivantes mais aussi : Histoire, Géographie, Physiques/Chimie, S.V.T… pour les collégiens et lycéens (en fonction des enseignants disponibles pur ces matières et sur le secteur géographique).
Où ?
Les cours sont dispensés au domicile de l’élève souffrant , toujours en présence, dans la maison, d’un adulte majeur et responsable (parent, grand-
Comment ?
Lors de la première rencontre, un suivi pédagogique est établi, précisant la prise en charge par l’équipe et les échanges avec l’établissement scolaire de rattachement ainsi qu’avec l’environnement médical, notamment les enseignants des hôpitaux, la cas échéant.
Une charte est ensuite passée entre la famille, l’élève et l’association, rappelant les exigences qui sont les clés de la réussite.
Lorsque cela est possible, il peut y avoir plusieurs intervenants auprès du même enfant, de façon à ce que les enseignants puissent s’épauler mutuellement et mieux adapter leurs interventions.
C’est en équipe que nous établissons un projet pédagogique individualisé et évolutif dans lequel les capacités telles que la concentration, l’autonomie, le rythme de travail, la mémorisation font l’objet d’autant d’attention que les résultats scolaires.